Les actus du projet
Pourquoi des sondages et carottages complémentaires ? L'objectif est de mieux déterminer l'état exact de dégradation du béton du clocher, analyser la nature des précédentes réparations des années 90, afin d'affiner le traitement que va subir Notre-Dame, qui sera alors toute belle pour fêter ses 100 ans en juin 2023 !
Cette opération d'une semaine environ est conduite par le Laboratoire de Recherche des Monuments Historiques.
Le démarrage des travaux est envisagé pour octobre 2021.
En juin 2019, GECINA avait annoncé son partenariat avec la Fondation du patrimoine en faisant un don de cinq millions d’euros sur trois ans, après l’incendie de Notre-Dame de Paris.
A l’issue d’un vote de ses collaborateurs, GECINA a choisi trois sites à soutenir, parmi lesquels la restauration du clocher de Notre-Dame du Raincy. GECINA apporte une dotation de 140 k€.
L'équipe en charge du projet de restauration ainsi que le diocèse de Saint-Denis-en-France remercient chaleureusement GECINA pour son appui financier et son intérêt pour le projet.
En janvier 2020, réception du résultat des sondages, mesures et analyses réalisés sur le clocher en novembre 2019.
Préparation par les architectes de l'Avant Projet Sommaire (APS), qui pourrait être rendu vers fin février début mars.
Lors de la première quinzaine de novembre 2019, des travaux de sondage et d'analyse du béton ont été réalisés sur le clocher de l'église à l'aide d'une nacelle. Cette opération doit permettre de poser un diagnostic clair de l'état réel du béton et du clocher, en vue de définir précisément la nature des travaux de restauration à engager.
Le projet de restauration du clocher et des vitraux sud va ainsi bénéficier d’une visibilité unique sur le site internet www.missionbern.fr. Mais aussi, au travers du prochain Loto du Patrimoine, d’un financement exceptionnel afin d’assurer une partie des travaux.
Avec les diagnostics très techniques prévus à l'automne 2019 et cette sélection officielle, une nouvelle étape de notre projet est franchie.
Une nouvelle restauration est nécessaire
Plusieurs phases de restauration se sont succédées : toiture (1988-1989), clocher (1991), façades et vitraux (1992-1996).
Depuis lors, de nouvelles dégradations sont peu à peu réapparues, principalement au niveau du clocher, y compris pour les parties déjà restaurées : des écailles de béton se détachent de l’édifice avec la corrosion des fers, l’orgue doit être protégé des infiltrations d’eau, et sur la façade sud, le mastic des vitraux se craquèle et perd de son étanchéité.